« C’est décidé, j’ouvre mon restaurant ! »
A l’heure de se lancer dans un premier projet de restauration, trop de gens réfléchissent en premier lieu à l’emplacement. Bien qu’ils ne sachent concrètement pas encore ce qu’ils serviront, à quelle clientèle et de quelle manière, ils savent déjà où s’établir. « J’adore cet espace, c’est là que je dois être ».
On nous répète constamment « location, location, location » pour nous rappeler que l’emplacement est finalement l’élément le plus important lors de la création d’un nouvel établissement. « Si votre restaurant n’est pas au bon endroit, vous n’attirerez jamais le nombre de clients nécessaire pour atteindre votre seuil de rentabilité ».
Le problème commence là. Qu’entend-t-on par le bon endroit ? Il n’y a pas de définition de l’emplacement idéal, et c’est au moment de définir le « bon endroit » que la majorité des entrepreneurs se trompent. Chez Good Morning, nous définissions l’emplacement idéal pour nos clients en dernier. Il est le résultat d’une étude approfondie dans chaque dossier.
Tout d’abord, nous apprenons à connaître les porteurs de projet. Un restaurant fonctionnera uniquement si les gérants savent ce qu’ils veulent proposer comme cuisine et sont experts dans leur domaine. Cette étude des compétences est primordiale car notre premier objectif est d’accompagner nos clients dans le développement de projets pour lesquels ils sont prédisposés. Ensuite commence l’analyse du concept. Nous rassemblons les idées soulevées par les porteurs de projets puis sur la base d’une étude de marché macro et locale, nous conservons les plus pertinentes et déterminons précisément le concept.
Suite à l’étude de marché et à la création de l’offre de restauration, nous débutons l’analyse sur l’ADN du concept, les coûts matières, le besoin spécifique en ressources humaines minimum, le matériel particulier. Tout est préparé minutieusement pour au final n’avoir plus qu’à trouver le meilleur écosystème (quartier) pour ce produit.
Il faut très souvent aller vite si l’on veut signer tel ou tel local. Avec cette méthode, vous n’aurez plus qu’à insérer dans votre business plan le prix de reprise, le loyer et les travaux nécessaires pour votre concept. Avec tous ces éléments, il est beaucoup plus facile de chiffrer le nombre de clients minimum pour couvrir vos frais fixes. Vous signerez votre bail bien plus rassuré : l’analyse faite en amont plutôt que dans la hâte vous évitera de tomber sous la pression d’un courtier qui vous dira presque systématiquement « attention, il y a déjà quelqu’un sur le coup d’intéressé ! ».
Voici un exemple de succès chez « Good Morning Agency » qui s’est déroulé la semaine dernière. Après avoir passé 1 mois et demi sur la production d’un business plan pour nos clients, nous avons commencé les recherches de locaux. 1ère visite, 1er coup de cœur. Le courtier nous dit que quelqu’un d’autre est déjà intéressé. Résultat, nous faisons une demande de financement auprès d’un acteur local qui, 9 jours après nous valide le financement ! Clients, heureux, rassurés, et prêts à démarrer leur projet dans des conditions optimales. Bien entendu nous vous tiendrons au courant de l’ouverture prévue pour le mois de janvier.